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1.
Med. Afr. noire (En ligne) ; 65(01): 59-68, 2018. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1266282

ABSTRACT

Objectif : Dresser l'état des lieux de la rhumatologie en Afrique Noire Francophone (ANF) sur le nombre de rhumatologues, les pathologies rhumatologiques, les moyens diagnostiques et thérapeutiques.Patients et méthodes : Etude transversale par interview auprès de rhumatologues africains pour connaître le nombre de rhumatologues, les moyens diagnostiques et thérapeutiques dans chaque pays entre juin 2014 et juin 2015. Revue de la littérature par recherche avec les mots "rheumatic diseases ; africa" sur Medline, "Médecine d'Afrique noire" électronique, "Médecine et santé tropicale" et "Société des pathologies exotiques". Les données concernaient les pays d'ANF jusqu'en juin 2015 hormis le Burundi, la République Démocratique du Congo et le Rwanda. Celles du Gabon concernaient 6050 rhumatisants vus entre janvier 2009 et décembre 2014 dans le service de médecine interne du centre hospitalier et universitaire de Libreville.Résultats : Pour une population totale de 182,14 millions d'habitants, il y avait 50 rhumatologues soit une densité de 0,03 rhumatologue pour 100.000 habitants. La pathologie la plus fréquente était l'arthrose. La goutte et les infections étaient les premières causes d'arthrites respectivement au Burkina Faso, au Congo Brazzaville, au Gabon et au Bénin, au Cameroun, en Côte d'Ivoire, au Togo. Les rhumatismes inflammatoires chroniques les plus fréquents étaient la polyarthrite rhumatoïde au Burkina Faso, au Cameroun, au Congo Brazzaville et les spondylarthrites par arthrites réactionnelles en Côte d'Ivoire, au Gabon, au Togo. La radiographie et le MTX étaient disponibles dans chaque pays. Il y avait 21 IRM, soit un appareil pour 8,673 millions d'habitants. Les biothérapies type Adalimumab et Etanercept respectivement à 1.710,36 et 1.733,23 € par mois au Gabon, restaient exceptionnellement utilisées.Conclusion : L'état des lieux de la rhumatologie en ANF en 2015 révèle surtout l'extrême carence en rhumatologues dans ces pays, principalement du fait de l'absence de formations locales dans cette spécialité


Subject(s)
Africa South of the Sahara , Arthritis, Rheumatoid , Rheumatic Diseases/diagnosis , Rheumatic Diseases/therapy , Rheumatology , Spondylarthritis
2.
Sciences de la santé ; 1(2): 4-7, 2015. tab
Article in French | AIM | ID: biblio-1271884

ABSTRACT

Objectif : Déterminer les caractéristiques étiologi-ques des coxopathies destructrices dans le service de rhumatologie du CNHU-HKM de Cotonou. Patients et Méthode : Etude rétrospective à visée descriptive portant sur des dossiers médicaux de patients hospitalisés dans le service de rhumatolo-gie du CNHU de Cotonou pour une coxopathie éro-sive entre janvier 2001 et Décembre 2011. Nous avons déterminé et analysé les diverses étiologies des coxopathies érosives. Résultats : Sur 6450 patients hospitalisés dans la période, 41 (0,6%) présentaient une coxopathie destructrice. La sex-ratio était de 0,5. L'âge moyen des patients était 42,95±17,32 [13-75] ans. L'attein-te était unilatérale dans un tiers des cas. La durée moyenne d'évolution était de 634± 237 [180-2920] j. Les étiologies étaient dominées par la Coxalgie (8 cas), la PR (7 cas) l'ostéonécrose drépanocytaire (7 cas), les coxarthroses destructrices rapides (4 cas), les ostéoarthrites septique de hanche (4 cas), la SPA, les autres causes d'ostéonécrose (Dyslipi-démie, corticothérapie prolongée), les coxopathies destructrices non déterminées étaient présentes chacune dans 3 cas. Un cas de coxopathie destruc-trice pagétique et de chondrocalcinose articulaire de hanche ont été notifié. Conclusion : Les coxopathies destructrices sont à craindre de par leur pronostic surtout fonctionnel (aboutissant à la mise en place de prothèse coûteu-se) et parfois vital en l'absence d'une thérapeutique efficace. Le retard diagnostique et la sévérité de ces formes nécessitent une hospitalisation


Subject(s)
Benin , Inpatients , Osteoarthritis, Hip/etiology , Retrospective Studies , Rheumatology
3.
Article in French | AIM | ID: biblio-1263920

ABSTRACT

Objectif :préciser les caractéristiques radiologiques des poignets et des mains dans la polyarthrite rhumatoïde au Centre National Hospitalo-Universitaire de Cotonou. Patients et méthode :Etude rétrospective à visée descriptive portant sur des dossiers médicaux de patients hospitalisés dans le service de rhumatologie du CNHU de Cotonou et présentant une polyarthrite rhumatoïde sur la base des critères de l'ACR 1987 entre janvier 1997 et Décembre 2011. Nous avons analysé les lésions radiologiques des poignets et des mains à l'aide du score de Larsen. Résultats :Sur 6450 patients hospitalisés dans la période, 53 présentaient une PR, soit 0.8%. La sex-ratio était de 0,38. L'âge moyen des patients était 42,39±8,3 [14-71] ans. 70,6% des patients présentaient des déformations caractéristiques de la PR et plus de la moitié des patients avait un score de Larsen supérieur à 40. Conclusion :Les lésions radiologiques de la PR font la gravité de la maladie. L'absence de traitement bloquant la progression radiologique de cette maladie en Afrique, pose un réel problème éthique. Il conviendra donc de faire un plaidoyer auprès des décideurs politico-administratifs pour rendre disponible la biothérapie


Subject(s)
Academic Medical Centers , Arthritis, Rheumatoid , Benin , Hand Joints , Radiography , Wrist Joint
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